SQL est le langage de programmation standard pour la gestion des bases de data (et l’un des langages de programmation les plus populaires à tous les niveaux). Il est indispensable pour toute organisation qui souhaite exploiter la puissance des data.
Les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs dépendent des développeurs SQL pour interroger les data et les analyser. Trouver votre spécialiste ou la bonne équipe SQL est une étape cruciale pour mettre les data au cœur de votre entreprise.
Pour bien recruter, il est important d’organiser votre processus en plusieurs étapes pour identifier les candidats ayant de l’expérience avec SQL et une éthique de travail qui correspondent aux besoins de votre organisation. Les entretiens permettent d’effectuer des vérifications dans ces deux domaines, mais comme ils sont très gourmands en ressources, nous vous conseillons de les utiliser après un premier test de compétences en programmation, par exemple :
Un test impliquant des opérations avec des bases de data SQLite peu complexes pour les postes de niveau débutant
Un test impliquant des requêtes SQLite de complexité moyenne pour les postes de niveau intermédiaire
Un test impliquant des requêtes SQLite très complexes pour les postes de haut niveau
Pour tirer le meilleur parti de votre processus d’entretien, pensez à utiliser nos questions d’entretien sur SQL Server et les exemples de réponses ci-dessous.
Nous avons divisé les 50 questions en trois catégories (débutant, intermédiaire et avancé) afin que vous puissiez adapter le processus d’entretien aux besoins de votre entreprise.
Les questions d’entretien sur SQL à faible complexité sont généralement utilisées pour les rôles de niveau débutant impliquant SQL Server où la personne qui passe l’entretien est susceptible d’avoir une expérience professionnelle limitée avec SQL.
Exemple de réponse :
Un système de gestion de base de data relationnelle (SGBDR) fait référence au logiciel utilisé pour stocker, gérer et interroger des data. Les data sont stockées dans des tables et peuvent être liées à d’autres ensembles de data sur la base d’informations partagées, d’où le nom « relationnelle ».
Exemple de réponse :
Les principales différences entre les systèmes de gestion de base de data relationnelle (SGBDR) et les systèmes de gestion de base de data (SGBD) sont les suivantes :
Un SGBDR stocke les data dans une table relationnelle avec des lignes et des colonnes, alors qu’un SGBD stocke les data sous forme de fichier
Un SGBDR fournit un accès à plusieurs utilisateurs (y compris avec une interaction côté client-serveur), tandis qu’un SGBD ne prend en charge qu’un seul utilisateur
Exemple de réponse :
Parmi les SGBDR les plus populaires, on trouve :
Oracle Database
MySQL
Microsoft SQL Server
PostgreSQL
IBM DB2
SQLite
Exemple de réponse :
SQL est un langage de programmation utilisé pour effectuer des tâches avec les data ; chaque SGBDR utilise SQL comme langage de programmation standard. Dans ces bases de data, SQL permet aux utilisateurs de créer des tables, de mettre à jour les data, d’effectuer des requêtes et de lancer des analyses.
Exemple de réponse :
SQL est le langage de programmation utilisé dans un SGBDR, tandis que MySQL est un exemple de SGBDR. MySQL a été l’un des premiers systèmes de base de data en open source sur le marché. Il reste aujourd’hui encore assez populaire.
Exemple de réponse :
La commande « CREATE TABLE » est utilisée pour créer une nouvelle table dans un SGBDR. Cette commande invite les utilisateurs à saisir le nom de la table, les noms des colonnes et les types de data. La même commande peut également être utilisée pour copier des tables existantes.
Exemple de réponse :
Avec SQL, le type de data « DATE » est utilisé pour stocker des data ou des valeurs d’heure dans la base de data. Le format d’insertion des dates peut varier selon le SGBDR, mais il adopte généralement la forme « AAAA-MM-JJ ».
Exemple de réponse :
Une requête est une demande de data ou d’informations à partir d’une base de data. Il existe principalement deux types de requêtes SQL :
Une requête SELECT est une requête qui regroupe les data d’une table à des fins d’analyse
Une requête ACTION est une requête qui modifie le contenu de la base de data en fonction de critères énoncés
Exemple de réponse :
Une sous-requête est une requête intégrée dans une autre instruction qui nécessite plusieurs étapes pour être effectuée. La sous-requête fournit à la requête globale des informations supplémentaires nécessaires à l’exécution d’une tâche, par exemple lorsque l’achèvement d’une requête dépend en premier lieu des résultats d’une autre.
Exemple de réponse :
Pour exécuter une requête SELECT avec SQL, le processus est le suivant :
L’instruction SELECT est utilisée pour préciser les colonnes sur lesquelles vous souhaitez lancer la requête
L’instruction FROM est utilisée pour préciser dans quelle table particulière se trouvent les data
L’instruction WHERE est utilisée pour filtrer les data en fonction de conditions énoncées
Exemple de réponse :
Il existe plusieurs instructions SQL pour exécuter une requête ACTION. Leurs objectifs et les procédures varient. Parmi les instructions ACTION les plus importantes, on trouve :
UPDATE permet de modifier les valeurs des champs d’une table
DELETE permet de supprimer des enregistrements dans une table
CREATE TABLE permet de créer une nouvelle table
INSERT INTO permet d’ajouter des enregistrements dans une table
Exemple de réponse :
Les contraintes en SQL sont un ensemble de règles ou de conditions mises en œuvre sur un SGBDR pour préciser quelles data peuvent être insérées, mises à jour ou supprimées dans ses tables. Cette procédure permet de maintenir l’intégrité des data et garantir que les informations stockées dans les tables de la base de data sont exactes.
Exemple de réponse :
La clause JOIN combine les colonnes d’au moins deux tables avec des valeurs associées pour créer une nouvelle table. Il existe principalement quatre types de clauses JOIN en SQL :
JOIN permet de renvoyer les enregistrements avec des valeurs correspondantes dans les deux tables
LEFT JOIN permet de renvoyer tous les enregistrements de la table de gauche et les enregistrements correspondants de la table de droite
RIGHT JOIN permet de renvoyer tous les enregistrements de la table de droite et les enregistrements correspondants de la table de gauche
FULL JOIN permet de renvoyer tous les enregistrements des deux tables
Exemple de réponse :
Un index SQL stocke des sections importantes d’une table de base de data pour permettre une recherche rapide et efficace. Plutôt que d’effectuer une recherche dans toute la base de data, les utilisateurs n’ont qu’à consulter l’index lors de la récupération des data. Les index contribuent donc à améliorer les performances d’un SGBDR.
Exemple de réponse :
Une valeur NULL indique que les data sont inconnues. Ce n’est pas la même chose que 0. Les valeurs NULL indiquent qu’aucune donnée n’est stockée.
Exemple de réponse :
Les commandes SQL sont utilisées pour effectuer des tâches spécifiques dans la base de data. Il en existe principalement cinq types :
Les commandes DDL (Data Definition Language) permettent de modifier la structure de la base de data
Les commandes DML (Data Manipulation Language) permettent de modifier les data dans les tables de la base de data
Les commandes DCL (Data Control Language) permettent de gérer l’accès des utilisateurs à la base de data
Les commandes TCL (Transaction Control Language) permettent de gérer les transactions effectuées par les commandes DML
Les commandes DQL (Data Query Language) permettent de récupérer des informations de la base de data
Exemple de réponse :
Les alias sont des noms temporaires donnés aux tables ou aux colonnes pendant la durée d’une requête SQL particulière. Leur but consiste à réduire la quantité de code requise pour cette requête, permettant ainsi d’économiser du temps et des efforts.
Vous pouvez utiliser les questions d’entretien sur SQL de complexité moyenne ci-dessous pour les rôles de niveau intermédiaire impliquant SQL, où la personne qui passe l’entretien possède déjà une certaine expérience professionnelle de l’utilisation de SQL.
Exemple de réponse :
La normalisation est le processus de division des data en tables pour supprimer les entrées redondantes et améliorer l’intégrité des data.
La dénormalisation est utilisée pour combiner plusieurs tables afin de réduire le temps nécessaire pour effectuer des requêtes.
Exemple de réponse :
La syntaxe de création d’un index peut varier en fonction du SGBDR. Dans la plupart des systèmes, l’instruction CREATE INDEX est utilisée pour lancer le processus. L’utilisateur est ensuite invité à attribuer un nom à l’index et à sélectionner les colonnes qui le constitueront.
Exemple de réponse :
Voici quelques-unes des contraintes SQL les plus couramment utilisées :
NOT NULL permet de garantir qu’une colonne ne contiendra pas de valeur NULL
UNIQUE permet de garantir que toutes les valeurs d’une colonne sont différentes
DEFAULT permet de fournir une valeur par défaut à une colonne lorsqu’aucune valeur n’est indiquée
INDEX permet de créer un index à des fins de récupération de data
CHECK permet de vérifier les valeurs d’une colonne par rapport à certaines conditions énoncées
Exemple de réponse :
Les principales différences entre les index cluster et non cluster sont les suivantes :
Les index cluster définissent l’ordre physique dans lequel les tables sont stockées et les trient en conséquence, tandis que les index non cluster créent un ordre logique qui ne correspond pas à l’ordre physique des lignes sur le disque
Les index cluster trient les lignes de data en fonction de leurs valeurs clés, tandis que les index non cluster utilisent une structure distincte des lignes de data
Il ne peut exister qu’un seul index cluster par table, alors qu’il peut exister plusieurs index non cluster par table
Exemple de réponse :
Il existe principalement trois types de sous-requêtes SQL :
Les sous-requêtes à une seule ligne renvoient une ligne dans les résultats
Les sous-requêtes multi-lignes renvoient deux lignes ou plus dans les résultats
Les sous-requêtes corrélées renvoient des résultats en fonction de requêtes externes
Exemple de réponse :
Le curseur permet aux utilisateurs de traiter les data d’un ensemble de résultats, une ligne à la fois.
Les curseurs sont une alternative aux commandes, qui fonctionnent sur toutes les lignes d’un ensemble de résultats en même temps. Contrairement aux commandes, les curseurs peuvent être utilisés pour mettre à jour les data ligne par ligne.
Exemple de réponse :
Le classement fait référence à un ensemble de règles ou de conditions qui influencent la façon dont les data sont stockées et classées. Il existe plusieurs types de classements SQL, notamment les suivants :
La sensibilité à la casse fait la distinction entre les majuscules et les minuscules
La sensibilité aux accents fait la distinction entre les caractères accentués et non accentués
La sensibilité à la largeur fait la distinction entre les caractères pleine chasse et demi-chasse
Exemple de réponse :
La fonction MOD peut être utilisée dans la plupart des SGBDR avec l’instruction WHERE dans une requête SELECT pour récupérer des entrées de data paires ou impaires dans une table.
La mise en forme est la suivante :
Pour les nombres pairs, utilisez « MOD (nom de la colonne, 2) = 1 »
Pour les nombres impairs, utilisez « MOD (nom de la colonne, 2) = 0 »
Exemple de réponse :
Pour renommer une colonne, veuillez suivre les étapes suivantes :
Utilisez « ALTER TABLE nom de la table » pour sélectionner la table contenant la colonne que vous souhaitez renommer
Utilisez « RENAME COLUMN ancien nom to nouveau nom » pour renommer la colonne
Exemple de réponse :
Les principales différences entre les commandes DELETE et TRUNCATE sont les suivantes :
DELETE est une commande DML, tandis que TRUNCATE est une commande DDL
DELETE supprime les enregistrements et enregistre chaque suppression dans le journal des transactions, tandis que TRUNCATE désalloue des pages et enregistre chaque désallocation dans le journal des transactions
La commande TRUNCATE est généralement considérée comme plus rapide, car elle utilise le journal des transactions dans une moindre mesure
Exemple de réponse :
Les data d’une table peuvent être copiées dans une autre en suivant ces étapes :
Utilisez l’instruction INSERT INTO et indiquer la nouvelle table comme destination
Utilisez l’instruction SELECT pour préciser les colonnes à copier (sélectionnez tout si vous souhaitez copier la table dans son ensemble)
Utilisez l’instruction WHERE pour préciser la table que vous souhaitez copier
Exemple de réponse :
La recherche d’entrées de data appartenant à un groupe particulier (dans ce cas, les employés appartenant à un service particulier) peut être effectuée de plusieurs manières, notamment en utilisant :
Les instructions SELECT, FROM et WHERE
Les instructions SELECT, FROM, GROUP BY et HAVING
Les instructions SELECT, FROM, INNER JOIN et WHERE
Exemple de réponse :
Pour supprimer une colonne dans une table, procédez comme suit :
Utilisez « ALTER TABLE nom de la table » pour sélectionner la table contenant la colonne que vous souhaitez supprimer
Utilisez « DROP COLUMN nom de la colonne » pour sélectionner la colonne que vous souhaitez supprimer
Exemple de réponse :
Vous pouvez récupérer des entrées de data commençant par une lettre particulière à l’aide de la commande LIKE en suivant ces étapes :
Utilisez l’instruction SELECT pour préciser la colonne qui contient les noms que vous souhaitez examiner
Utilisez l’instruction FROM pour préciser la table contenant cette colonne
Utilisez « WHERE nom de la colonne » suivi de « LIKE x% », où « x » représente la lettre que vous recherchez
Utilisez « ORDER by nom de la colonne » pour compléter la requête
Exemple de réponse :
Les valeurs agrégées sont utilisées pour effectuer des calculs sur un ensemble de valeurs afin de renvoyer une valeur unique. Parmi les fonctions d’agrégation les plus utilisées, on trouve les suivantes :
AVG calcule l’ensemble moyen de valeurs
COUNT compte le nombre total de lignes dans une table
MIN trouve la valeur minimale dans une table
MAX trouve la valeur maximale dans une table
SUM calcule la somme des valeurs
Exemple de réponse :
Un schéma fait référence à une collection d’objets de base de data, tels que des tables, des fonctions, des index et des procédures, associés à une base de data.
Le schéma permet de séparer les objets de base de data pour différentes applications et différents droits d’accès. Il est généralement utilisé pour définir qui peut et qui ne peut pas voir des objets spécifiques dans la base de data.
Exemple de réponse :
Les fonctions scalaires sont des fonctions définies par l’utilisateur appliquées à un ensemble de data pour renvoyer une valeur unique. Parmi les fonctions scalaires les plus courantes, on trouve les suivantes :
UCASE convertit les valeurs en majuscules
LCASE convertit les valeurs en minuscules
MID extrait des data textuelles en fonction de critères énoncés
ROUND arrondit les data numériques à un nombre spécifié de décimales
NOW renvoie la date et l’heure actuelles du système
Nous vous recommandons d’utiliser les questions d’entretien sur SQL de niveau avancé ci-dessous lors du recrutement à des postes de haut niveau impliquant SQL, où la personne qui passe l’entretien dispose d’au moins quelques années d’expérience avec SQL.
Exemple de réponse :
Une injection SQL est un type de cyberattaque dans laquelle les pirates insèrent du code SQL malveillant dans la base de data pour accéder à des informations potentiellement précieuses ou sensibles. C’est un phénomène assez courant avec les applications Web ou les sites Web qui utilisent une base de data basée sur SQL.
Il est possible d’empêcher les injections SQL en créant plusieurs comptes de base de data pour limiter l’accès ou en utilisant un pare-feu d’application Web tiers.
Exemple de réponse :
Il existe plusieurs façons d’optimiser les requêtes et d’améliorer les performances. Exemple :
En spécifiant des colonnes particulières avec SELECT plutôt qu’en utilisant SELECT * (tout sélectionner)
En faisant des jointures avec INNER JOIN plutôt que WHERE
En définissant des filtres avec WHERE plutôt qu’en utilisant HAVING
En évitant les instructions en boucle dans la structure de la requête
En évitant les sous-requêtes corrélées
Exemple de réponse :
Le processus de normalisation SQL peut être divisé en six étapes ou types. On trouve les éléments suivants :
La première forme normale (1FN) permet de s’assurer que les lignes et les colonnes contiennent toujours des valeurs au singulier et uniques
La deuxième forme normale (2FN) permet de supprimer toutes les dépendances partielles
La troisième forme normale (3FN) permet de supprimer toutes les dépendances fonctionnelles transitives
La forme normale de Boyce-Codd (FNBC) ou la quatrième forme normale (4FN) permet de s’assurer que toutes les dépendances fonctionnelles sont une super clé de la table
La cinquième forme normale (5FN) permet de s’assurer que la décomposition n’entraîne aucune perte de data
La sixième forme normale (6FN) permet de décomposer les variables de relation en composantes irréductibles
Exemple de réponse :
ACID est l’acronyme d’Atomicité, Cohérence, Isolation et Durabilité. Ce sont les quatre propriétés clés permettant d’assurer l’intégrité des data lors d’une transaction.
Le rôle de chaque propriété est le suivant :
Atomicité : les modifications apportées aux data sont effectuées en une seule opération unifiée
Cohérence : les valeurs des data sont cohérentes au début et à la fin de la transaction
Isolation : l’état intermédiaire d’une transaction est masqué auprès des autres transactions
Durabilité : les modifications apportées aux data restent les mêmes une fois la transaction terminée
Exemple de réponse :
Les procédures stockées sont des morceaux de code SQL qui peuvent être enregistrés et réutilisés. Les principaux types de procédures stockées sont les suivants :
Les procédures stockées définies par l’utilisateur, qui sont créées par les utilisateurs
Les procédures stockées système, qui sont des procédures par défaut placées en permanence sur le système
Les procédures stockées temporaires, qui sont des procédures supprimées lorsque la session est fermée
Les procédures stockées distantes, qui sont créées et stockées sur des serveurs distants
Exemple de réponse :
Pour trouver des employés touchant le même salaire, la solution suivante peut être utilisée :
Utilisez l’instruction SELECT pour indiquer la table appropriée
Utilisez l’instruction FROM pour indiquer la colonne des employés
Utilisez l’instruction WHERE pour indiquer les critères de salaire, par exemple :
« WHERE salaire IN
(SELECT salaire
FROM employé
WHERE employee.employee_id <> employee.employee_id) »
Exemple de réponse :
Il existe plusieurs façons de supprimer les lignes en double dans une table, par exemple :
En utilisant des expressions de table communes (CTE – Common Table Expressions) avec la fonction ROW_NUMBER pour identifier et supprimer les lignes en double
En utilisant la fonction RANK avec la clause PARTITION BY
En utilisant la clause GROUP BY avec la fonction COUNT, puis en remplaçant SELECT par DELETE FROM
Exemple de réponse :
Un déclencheur est un type de procédure stockée qui s’exécute lorsqu’un événement spécifique se produit, par exemple lorsqu’un nouvel enregistrement est ajouté à la base de data.
La création de déclencheurs varie en fonction du SGBDR. Certains systèmes comportent une instruction CREATE TRIGGER, tandis que d’autres exigent que les utilisateurs accèdent à un dossier de déclencheurs dans la barre d’outils. Une fois le déclencheur créé, les utilisateurs doivent écrire son code, en précisant ses conditions et son effet.
Exemple de réponse :
Les principales différences entre les clauses HAVING et WHERE en SQL sont :
La clause WHERE est utilisée dans les opérations sur les lignes, tandis que la clause HAVING est utilisée dans les opérations sur les colonnes
La clause WHERE vient avant GROUP BY dans une requête, tandis que la clause HAVING vient après GROUP BY
La clause WHERE ne peut pas être utilisée avec des fonctions d’agrégation, contrairement à la clause HAVING
Exemple de réponse :
Le chiffrement des bases de data contenant des informations sensibles est crucial pour des raisons de sécurité. Le chiffrement peut être mis en œuvre de plusieurs manières. Par exemple, vous pouvez :
Créer une clé principale
Utiliser le chiffrement symétrique
Créer un certificat protégé par la clé principale
Exemple de réponse :
Une sous-requête corrélée peut être utilisée pour trouver la sixième personne mieux rémunérée dans une table. Les étapes sont les suivantes :
Utilisez l’instruction SELECT pour préciser les colonnes de nom des employé s et de salaires
Utilisez l’instruction FROM pour préciser la table appropriée
Utilisez l’instruction WHERE pour indiquer les critères de salaire, par exemple :
« WHERE statement 6-1 = (SELECT COUNT(DISTINCT salary) FROM #Employee e2
WHERE e2.salary > e1.salary) »
Exemple de réponse :
Il existe plusieurs méthodes pour éviter les entrées en double lors d’une requête, par exemple :
Créer un index unique
Ajouter le mot-clé DISTINCT à l’instruction SELECT
Utiliser les commandes NOT EXISTS ou NOT IN
Exemple de réponse :
Les principales différences entre un curseur implicite et explicite sont les suivantes :
Les curseurs implicites sont créés automatiquement lorsque les instructions SELECT sont exécutées, tandis que les curseurs explicites doivent être définis explicitement par l’utilisateur
Les curseurs implicites ne peuvent récupérer les data que d’une seule ligne à la fois, tandis que les curseurs explicites peuvent récupérer les data de plusieurs lignes
Les curseurs implicites sont moins efficaces et plus sujets aux erreurs que les curseurs explicites
Exemple de réponse :
Le traitement des transactions en ligne (OLTP – Online Transaction Processing) et le traitement analytique en ligne (OLAP – Online Analytical Processing) sont deux systèmes différents de traitement des data dans le domaine de la data science.
Les systèmes OLTP capturent, stockent et mettent à jour les data régulièrement, tandis que les systèmes OLAP sont utilisés pour interroger et effectuer des analyses sur ces data.
Exemple de réponse :
SQL dynamique est une technique de programmation utilisée pour créer des instructions SQL au moment de l’exécution, plutôt qu’au moment de la compilation. Le SQL dynamique est plus difficile et moins efficace que le SQL statique, mais il permet aux développeurs de créer des applications plus polyvalentes et à usage général.
Exemple de réponse :
Trois types de relations peuvent exister entre une paire de tables de base de data, soit :
Un-à-un, où chaque enregistrement d’une table peut être lié à un enregistrement de la table correspondante
Un-à-plusieurs, où chaque enregistrement d’une table peut être lié à un ou plusieurs enregistrements de la table correspondante
Plusieurs-à-plusieurs, où chaque enregistrement des deux tables peut être lié à un ou plusieurs enregistrements de la table correspondante
L’entretien est l’une des dernières étapes, et des plus importantes, du processus de recrutement. Au cours de l’entretien, vous évaluez à la fois les compétences non techniques et les compétences techniques, vous devez donc choisir judicieusement vos questions : elles vous donnent l’opportunité d’évaluer les compétences en SQL et le comportement des candidats. Trouver la perle rare sur ces deux fronts est impératif.
Les questions ci-dessus couvrent la première partie et vous permettent d’évaluer avec précision les compétences en codage SQL des candidats.
Les exigences en SQL varient en fonction du système de base de data utilisé par votre organisation. En sachant cela, adaptez si possible vos questions aux exigences du poste. Il est également possible d’adapter votre processus de sélection dès le début en incorporant une évaluation ciblée des compétences en SQL.
Les évaluations des compétences en SQL ont une très grande valeur, car elles vous permettent d’évaluer directement les compétences de la personne que vous interrogez, ce que les questions d’entretien ne peuvent pas offrir. TestGorilla propose plusieurs évaluations sur SQL adaptées aux différents besoins et niveaux de compétence d’une entreprise :
Un test sur les opérations de base de data SQLite à faible complexité pour les postes de niveau débutant
Un test sur les requêtes SQLite de complexité moyenne pour les postes de niveau intermédiaire
Un test sur les requêtes SQLite à haute complexité pour les postes de haut niveau
Nous recommandons d’utiliser les évaluations des compétences après la sélection initiale des candidatures, mais elles peuvent même remplacer cette étape, car elles vous permettent de filtrer rapidement les candidatures qui ne sont pas adaptées au poste.
Vous pouvez effectuer un suivi avec un entretien téléphonique informel et en proposant une tâche propre au rôle pour les candidatures présélectionnées. Ce système vous aide à sélectionner les meilleurs candidats pour un entretien, ainsi qu’à réduire la durée du recrutement et le coût par embauche.
En préparant un entretien structuré dans le cadre d’un processus de sélection rigoureux en plusieurs étapes, vous pourrez trouver VOTRE spécialiste en SQL.
N’oubliez pas : l’objectif du recrutement n’est pas de trouver un candidat possédant les compétences en SQL les plus larges, mais celui ou celle qui correspond le mieux aux besoins de votre entreprise.
Trouver la perle rare transformera votre stratégie d’analyse des data et permettra à votre organisation de garder une longueur d’avance pour les années à venir.
Les tests sur SQL de TestGorilla peuvent vous aider à trouver les bon développeurs SQL rapidement et sans biais cognitif. Lancez-vous gratuitement dès aujourd’hui et commencez à prendre de meilleures décisions d’embauche.
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